René PIOT, modèle de persévérance et de passion : figurer le mouvement, du croquis à la représentation monumentale

À l’exposition coloniale de Marseille de 1922 dansait une troupe de jeunes cambodgiennes. Non loin de là, un travailleur acharné croquait les modèles, capturait les lignes des mouvements. Cet homme n’était autre que René Piot, subjugué par les petites danseuses, qu’il observait avec son regard habile et exigeant.